La fille du 99, la maison à la porte verte et aux géraniums blancs
C’était un jour d’été. Premières chaleurs de l’année, ici. Comme souvent, pour rejoindre le vieux centre-ville, je passai par le parc. Les fleurs et les plantes odorantes me calmaient tandis que, tranquillement, j’avançais dans les allées. Quelques nuages créaient de l’ombre en plus de celle des arbres, provoquant quelques frissons. Puis, l’osmose prit fin, brutalement, quand je n’eus d’autre choix que de franchir les grilles en fer forgé.